COUPE DU MONDE

Tirage au sort :

ALEX ESPAGNE

OLIVIER BRESIL

JIMMY ARGENTINE

MATS ANGLETERRE

MICKAEL HOLLANDE

GUILLAUME ARABIE SAHOUDITE

L’HISTOIRE NE TIENT QU’A UN FIL    

Phase de poule :

La cérémonie d’ ouverture peut démarrer ! 6 joueurs et non les moindres participent à cette grande compétition qu’est la coupe du monde.

Le premier à faire son entrée dans la compétition est Mickael, non seulement il est le seul participant à ne pas figurer dans les 5 premiers mondiaux mais il est aussi le seul à disputer sa première coupe du monde.

Ce dernier tant critiqué pour ses anciennes prestations en tournoi ouvre de façon magnifique le bal en remportant son match d’ouverture.

Les joueurs suivants maitrisent leur sujet en gagnant tous sans exception leur 1^er match: du jamais vu dans l’histoire de la coupe du monde P.E.S.

Il faut noter que Guillaume est à la tête d’une équipe du 3ème chapeau : il dirige l’Arabie Sahoudite, qui n’est autre que l’équipe remaniée où figurent des joueurs créés et représentants les proches du cercle P.E.S. Cette équipe à un niveau largement inférieur aux gros calibre mondiaux, mais sur le terrain Guillaume déjoue les pronostiques et remporte également son premier match.

Avec toutes ces victoires la compétition s’annonce rude et d’un niveau exceptionnel.

Le 1^er tour semble n’être qu’une formalité pour ces joueurs préparés à merveille pour l’événement. Le suspense est de très courte durée, tout le monde passe facilement cette phase de poule grandiose, du jamais vu, les 6 participants se qualifient pour les 8ème de finale, le reste de la compétition s’avère palpitant.

8^ème de final :

Guillaume est le 1^er à disputer son 8ème de finale, il rencontre la très solide sélection Ivoirienne, le match est mal engagé pour l’Arabie. Pénalty pour la Côte d’Ivoire 1-0

Gui semble mort et pourtant….il égalise dans la foulée, se bat comme un mort de faim sur tous les ballons et réussit l’impensable : 2-1. Il décroche son billet pour un quart de finale de coupe du monde, magnifiqueeeeeeee.

Alexandre joue la Colombie, Olivier rencontre le Paraguay, simple formalité pour ces 2 joueurs qui obtiennent leurs tickets pour les quarts. Le pré tirage fait que ces 2 adversaires vont se retrouver au match suivant : Espagne-Brésil annoncé, le monde du football s’en lèche les babines.

Mats et Mikael confirment. Ils passent facilement leur 8ème, logique pour Mats contre l’Australie.

Mais concernant Mickael il stupéfait la planète entière. Il décroche sa qualification pour les quarts d’une belle manière en sortant la solide équipe d’Allemagne après avoir été mené 1-0. Il trouve les ressources suffisantes pour aller chercher la victoire, Mika impressionne, il rentre dans le cercle fermé des 8 meilleures équipes du monde.

Pendant ce temps, notre imposture nationale Jimmy joue contre la Squadra Azura.

Prenez un match fermé que ce dernier n’arrive pas à emballer, ajoutez une équipe d’Italie solide défensivement, et vous obtenez logiquement une séance de tirs aux buts,

Le peuple Argentin qui n’avait pas caché sa colère quand Jimmy a été annoncé sélectionneur se met à trembler.

A presque 35 ans Gigi Bouffon s’illustre dans cette séance, Jimmy est pétrifié à chaque tir, l’Argentine est éliminée de la compétition malgré la présence du meilleur joueur du monde Messi qui était rouge comme un volcan.

Jimmy a du mal à quitter le stade menacé par les milliers d’Argentins présents. Encore un échec dans la carrière très médiocre de notre Congo franco antillais.

QUART DE FINAL :

Guillaume rencontre le Portugal, malheureusement il concède un pénalty d’entrée et se retrouve trop rapidement mené au score.

Le match devient haché, Cristiano Ronaldo qui bénéficie d’un traitement spécial se fait littéralement défoncer tout le match.

Guillaume se bat avec ses armes comme il peut, il donne tout, tente tout.

Hélas il n’arrivera pas à égaliser, il sort de la compétition sous les applaudissements du public, l’émir Arabe l’attend dors et déjà avec impatience pour le féliciter de son excellente performance.

« Je vous jure qu’il ne manquait pas grand-chose pour que ça passe » déclaration lucide de Gui qui se fait éliminer sur un penalty évitable.

Bravo et félicitation pour avoir été en quart avec l’une des équipes les plus faibles du tournoi.

Brésil-Espagne, Olivier-Alex, un quart de finale explosif !

Le stade est archi comble, la pelouse est parfaite, le soleil brille au dessus des deux équipes lors du coup d’envoi, le spectacle peut commencer.

Le Brésil semble le mieux organisé en se début de rencontre, l’Espagne est bien en place, et procède par à-coups. Le match est surtout très disputé au milieu de terrain et le rythme de la rencontre est digne d’un quart de finale de coupe du monde.

La tension est à son comble, à la 45ème minute le défenseur central Lucio se retrouve seul dans la surface adversaire, bien servie par son milieu gauche il ajuste le gardien Espagnol.

La séléçao ouvre le score dans une ambiance de folie, comment Alex va-t-il réagir en seconde période ?

Alexandre revient avec de biens meilleurs intentions sur le terrain, il tente de pousser mais Olivier ne se laisse pas faire, il se procure les meilleures occasions, Julio Bastista et Luis Fabiano butent à plusieurs reprises sur un Casillas en état de grâce.

70ème minute Alexandre n’a plus le choix, il joue le tout pour le tout, l’Espagne se rue à l’attaque, le Brésil d’Olivier recule de plus en plus, il se retrouve même à 10, suite à une expulsion à 15 minutes du terme.

Alex pousse, Olivier est à l’agonie mais ne craque pas.   

87ème minute ultime corner Espagnol, tous les Brésiliens sont regroupés dans leur surface de réparation, le ballon est repoussé de la tête par Lucio impérial dans l’axe de la défense.

Xavier Martinez traine aux abords des 18 mètres et amorce une reprise de volée acrobatique. Le ballon prend une trajectoire parfaite et vient se loger sous la lucarne de Gomes le gardien Brésilien qui ne peut absolument rien faire sur ce geste technique prodigieux.

1 partout à 10 contre 11, la prolongation s’annonce délicate pour le Brésil.

La prolongation est toujours aussi intense, mais aucune occasion réellement franche n’est à noter.

120^ème minute dernière action pour l’Espagne, l’attaquant gauche de la sélection place une accélération fulgurante sur le coté. Il pénètre dans la surface, délivre un ballon millimétré a son partenaire. L’attaquant Espagnol seul devant les buts envoi le ballon sur le poteau de Gomes qui était battu, coup de sifflet final. Alex se mort les doigts sur cette occasion finale manquée, place à la séance des tirs aux buts.

La tention est à son comble, le Brésil prend le dessus sur la guerre psychologique et compte 2 pénaltys d’avance.

Alex n’abdique pas, parade de Casillas, tir sur la barre de Daniel Alves, 3-3 au terme des 5 tirs, place à la mort subite.

L’Espagne prend l’avantage 4-3, le stade retient son souffle, le brésilien Kleberson envoi le ballon en direction de la lucarne, le ballon touche l’équerre et rentre, 4-4.

Au tour de Torres de s’élancer, il frappe….. Gomes dévie le ballon du bout du pied sur le poteau, le Brésil est à un tir de la victoire.

Gilberto Silva prend son élan et envoi un pénalty qui fleurte encore avec les montants avant de rentrer : 5-4 Olivier est en demi finale de la coupe du monde.

Plutôt que de sauter de joie, il congratule son adversaire Alexandre qui n’en revient pas, quel match !!!!

Le match de la décennie, le match du siècle, les commentaires des journalistes et de tous ceux qui ont assisté à ce match son plus élogieux les uns que les autres.

Certains diront qu’il était digne du France Brésil 1986.

Mikael affronte l’équipe italienne qui a fait tomber Jimmy au tour précédant, le match est très équilibré, décidemment ce Mika est en très grande forme. Malheureusement un coup franc magnifique de Pirlo le renvoi à la maison à la 85^ème minute.

Plus le temps de réagir, Mikael se fait sortir de la compétition par son équipe de cœur, les mauvaises langues diront que c’est bien fait pour lui, s’il n’avait pas trahi son pays peut être qu’il se serait qualifié avec eux.

Mats dispute son quart de finale contre l’équipe de France, le match est très engagé, il y a peu d’espace pour s’exprimer. Les prolongations arrivent, 118ème minute alors que l’on pense la séance de pénalty inévitable, Lampard nous envoi une frappe à ras de terre dont il a le secret, Mandanda est battu, qualification de Mats pour les demis.

DEMI-FINALE :

La 1ère demi finale oppose le Brésil au Portugal, dernier obstacle pour Olivier avant la finale. Un match bien maitriser par le Brésil, un but de Kaka et voilà Olivier en finale de la coupe du monde, prêt, déterminé à conserver son titre.

Mats se défait de son coté de l’impressionnante Squadra Azura 2-1 à la suite d’un match qui aurait pu basculer d’un sens comme dans l’autre.

FINALE :

RENDEZ VOUS AVEC L’HISTOIRE

Voila nous y sommes, le rendez attendu par le monde entier arrive enfin, un Brésil-Angleterre orchestré par les 2 meilleurs joueurs du monde Olivier et Mats.

Les billets pour assister à la rencontre se vendent au marché noir à des prix exorbitants,

Les loges d’honneur sont réservées pour les participants éliminés ainsi que les plus grandes personnalités du football.

Le coup d’envoi est donné, nous remarquons d’entré l’engagement Anglais, les tacles fusent et les interventions de qualité se multiplient.

Les 2 protagonistes se livrent un duel intense de toute beauté, le monde est tenu en haleine, ce match risque de se jouer sur un détail.

35éme minute, Nilmar pénètre dans la surface de réparation Anglaise, Geen irréprochable durant toute la coupe du monde sort pour réduire l’angle de frappe au maximum, Nilmar en pleine course fait une feinte de frappe, efface le portier Anglais et glisse le ballon au font des filets, 1-0 les supporters Brésilien exultent.

Mats va tout faire pour s’en sortir, il produit un jeu direct et se porte rapidement vers l’avant, la défense Brésilienne est bien en place, Mats n’arrive pas à s’approcher du but et tente quelque frappe lointaines…… mais Julio César reste impériale.

Mats pousse de plus en plus, et s’expose à des contres ultra rapide de la séléçao.

Sur un contre, Robinho fait la différence en éliminant son adversaire direct et effectue une passe en retrait sur ce diable de Luis Fabiano, malgré l’angle très fermé ce dernier réussit à redresser le ballon qui termine sa course au font des filets, 2-0 les supporters Brésilien hurlent de joie.

Mats ne se laisse pas abattre et jette ses dernières force dans la bataille.

Le Brésil nous fait un caténachio digne des plus belles années Italiennes en attendant le terme de la rencontre.

Le coup de sifflet final retenti……. Olivier se lève de son banc et entame une course folle sur tout le terrain, sa joie est immense, son maillot est enlevé, la fête peut commencer.

Il conserve son titre et c’est encore le Brésil qui bénéficie du talent de classe mondial du numéro 1.

« C’est l’une des coupe du monde les plus relevée de l’histoire, tous les participants avaient un véritable niveau de jeu et se sont préparés durement pour bien figurer dans cette épreuve, je conserve mon titre de champion du monde, ah si seulement ils savaient » mais de quoi Olivier veut il parler ?

Il nous dira plus tard que la dernière phrase de sa déclaration fait allusion à la joie intense qu’il a ressentie lors de son sacre et que très peu de joueurs peuvent comprendre. L’effet que cela procure d’être champion du monde est indescriptible.

Nous quitterons le stade avec cette image gravée a jamais dans nos mémoires, Olivier porté en triomphe par toute l’équipe du Brésil, les supporters criant « Olivier El Maestro El Finoméno ».

Ps : espérons qu’Alex se remette rapidement de cette échec difficile à encaissé tant la victoire lui tendait les bras en quart de finale.

Rachid, Chinois et Brahim ont raté ce qui a été pour certain « la coupe du monde du siècle »

Précisons que tous les joueurs se sont préparés durement pour disputer cette coupe du monde, cela a payé et tous le monde a passé les phases de poules.

Notons que le joueur qui s’est le moins bien préparé s’est fait éliminé en 1^er au stade des 8éme de finale, en effet Jimmy a une nouvelle fois négligé la préparation intense qu’il faut pour être présent lors d’un tel événement.